L'Union pour la Méditerranée (UPM) qui doit être lancée ne doit pas "ignorer la cause palestinienne" même si elle n'a pas à intervenir dans les négociations de paix au Proche-Orient, a assuré à Paris le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa,
Moussa s'exprimait avant une réunion dans la capitale française des ministres des Affaires étrangères arabes destinée à coordonner leur position avant le sommet, auquel participera aussi Israël.
Le passage de la déclaration finale sur la situation au Proche-Orient devant être approuvé dimanche est l'un des principaux points encore en discussion à quelques heures du sommet, selon des sources diplomatiques. La Ligue arabe aimerait aussi être formellement associée au projet. "Lorsque l'UPM examinera la situation en Méditerranée, elle ne doit pas ignorer la cause palestinienne", a dit samedi Amr Moussa à des journalistes avant de rencontrer les ministres arabes à la résidence de l'ambassadeur d'Egypte à Paris.
"Mais on ne lui demande pas de trouver des solutions, parce que les solutions existent et sont connues, c'est l'arrêt de l'occupation (israélienne), des colonies, l'établissement d'un Etat palestinien et le retrait de tous les territoires occupés au Liban, en Syrie et en Palestine", a dit Amr Moussa. Quant à l'Union européenne, "on ne lui demande pas d'intervenir dans les négociations de paix au Proche Orient, mais d'appuyer cette solution politique qui est connue", a-t-il ajouté.
Le sommet de lancement de l'UPM doit réunir 43 dirigeants dimanche à Paris. Les pays arabes du pourtour de la Méditerranée seront présents, à l'exception de la Libye qui boycotte la rencontre.
LeFigaro.fr
Moussa s'exprimait avant une réunion dans la capitale française des ministres des Affaires étrangères arabes destinée à coordonner leur position avant le sommet, auquel participera aussi Israël.
Le passage de la déclaration finale sur la situation au Proche-Orient devant être approuvé dimanche est l'un des principaux points encore en discussion à quelques heures du sommet, selon des sources diplomatiques. La Ligue arabe aimerait aussi être formellement associée au projet. "Lorsque l'UPM examinera la situation en Méditerranée, elle ne doit pas ignorer la cause palestinienne", a dit samedi Amr Moussa à des journalistes avant de rencontrer les ministres arabes à la résidence de l'ambassadeur d'Egypte à Paris.
"Mais on ne lui demande pas de trouver des solutions, parce que les solutions existent et sont connues, c'est l'arrêt de l'occupation (israélienne), des colonies, l'établissement d'un Etat palestinien et le retrait de tous les territoires occupés au Liban, en Syrie et en Palestine", a dit Amr Moussa. Quant à l'Union européenne, "on ne lui demande pas d'intervenir dans les négociations de paix au Proche Orient, mais d'appuyer cette solution politique qui est connue", a-t-il ajouté.
Le sommet de lancement de l'UPM doit réunir 43 dirigeants dimanche à Paris. Les pays arabes du pourtour de la Méditerranée seront présents, à l'exception de la Libye qui boycotte la rencontre.
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